| Accueil | Archives | Youtube | facebook | Soundcloud | contact |

mercredi 3 janvier 2018

Garde alternée ou être père par alternance

Depuis que je me suis séparé de la mère de ma fille en août 2010, j'ai vécu ce que bon nombre de pères vivent à notre époque : la garde alternée.

Mise en place depuis environ 3 ans, je vois ma fille que 1 semaine sur 2 : moitié du temps chez maman et moitié du temps chez Papa et c'est déjà pas mal me direz-vous...

Plébiscité par de nombreux pédopsychiatres comme étant la méthode de garde la moins pire de toute, j'ai trouvé cette méthode plutôt équitable jusqu'à hier. Aujourd'hui, ma fille a 11 ans et je me heurte de plus en plus à certaines limites du système.

D'abord, c'est vrai, ma fille a grandi et elle est aujourd'hui une vrai jeune ado. Elle est plus indépendante, plus mature et plus chiante aussi ! Et paradoxalement, je sens qu'elle n'a jamais eu autant besoin de ma présence qu'en ce moment. C'est l'âge où on a le plus besoin de repères ; des repères qui seront soit adoptés des parents ou soit au contraire, complètement rejetés en fonction de la personne qu'on aimerait être plus tard.

Pour moi, le rôle Papa, c'est justement ça, de donner à nos enfants les bons repères à avoir. Pour y arriver, j'ai besoin de temps. Sauf que le temps, ben j'en ai 2 fois moins qu'un père "normal" !

Je m'explique.

Quand je récupère ma fille, cela fait déjà 1 semaine qu'on ne s'est pas vu. D'habitude, le rapprochement se fait presque immédiatement entre elle et moi, sauf que là avec sa période d'adolescence, elle prend systématiquement de la distance pour s'affirmer. Le rapprochement n'est donc pas immédiat et je mets parfois jusqu'à 3/4 jours pour regagner la même proximité que j'avais avec elle, il y a 1 semaine.

Faites donc le compte et c'est ça qui n'est pas évident quand on est un père par alternance.

mardi 22 août 2017

Le chant quand on arrête de fumer

Il y a quelques mois, j'ai décidé de prendre une grande décision pour ma santé : arrêter de fumer !

Il faut dire que ça fait plus de 20 ans que je fume. J'ai commencé à fumer à la fac un peu pour faire comme mes potes et surtout parce-que ça faisait plus "cool" dans le milieu artistique. Quand j'y pense, qu'est-ce que ça pouvait être stupide ! J'étais stupide et je ne compte pas tout le fric que j'ai dépensé en clopes...

Après mon mariage mais aussi pour ma santé, j'ai décidé d'arrêter après la lecture d'un ouvrage. L'arrêt s'est fait le 25 juin 2017 et à l'aide de la cigarette-électronique.

Et même si mon histoire peut paraître d'une banalité affligeante, je voulais laisser un article pour vous indiquer les changements que j'ai pu constater sur ma voix quand je mets à pousser la chansonnette.



Après 2 mois d'arrêt du tabac, j'ai redémarré mes répètes que depuis hier et donc un peu avec "ma nouvelle voix". Je n'y pensais pas du tout au début et j'ai constaté des différences assez déconcertantes :

D'abord, le grain de ma voix a changé. Je n'ai plus la même voix qui tiraille un peu lorsque je la pousse, elle est plus claire, plus cristalline. C'est con mais quand on est amené à chanter certains registres, ça peut être soit un avantage, soit un inconvénient. Au-delà de ça, je crois que j'ai gagné au moins un demi-ton dans les aigus et ça c'est plutôt cool. Je gère mieux et ce n'est pas mon groupe qui va s'en plaindre. Utiliser ma voix de faussé est aussi devenue plus facile, ma voix tremble moins et je passe les notes plus facilement qu'avant.

Pour résumer, arrêter de fumer pour un chanteur comme moi, c'est comme si j'avais décidé de rajeunir ma voix. Manquerait plus qu'elle mue, cette précieuse, une nouvelle fois.

jeudi 6 février 2014

Instinct de survie et modernité

Depuis de nombreuses années, je m’intéresse à un sujet qui m'est passionnant : la « SURVIE ».

N’y voyez rien de péjoratif dedans. Je pense même qu’on a tous au fond de nous un réflexe presque animal qui nous pousse à tout mettre en œuvre pour mettre notre famille à l’abri en cas de catastrophe. C’est même dans nos gênes et on est même câblé pour ça.

Parallèlement, il faut admettre qu’avec tout le confort de l'homme moderne (accès aisé à l’information, l’eau courante, l’accès à la nourriture 24h/24), on est bien loin de l’homme des cavernes. Les risques liés à une situation chaotique sont donc extrêmement minimes et les gens qui sont exposés aujourd’hui à de vrais risques naturels sont plutôt des gens qui ont choisis eux-mêmes de se mettre en danger. N’y voyez pas là de jugement de valeur mais avouez quand même qu’il ne faut pas être trop étonné si on voit sa baraque sous l’eau alors qu’on a décidé de la construire dans une zone inondable… C’est triste certes mais c’était surtout prévisible. D’ailleurs, les mecs qui tentent de se rassurer en construisant des bunkers, ça me fait plutôt sourire qu’autre chose ; entre inconscience et paranoïa, il y a un juste milieu !

Ceci étant dit, c’est comme tout dans la vie, on est souvent tiraillé entre notre cerveau d’homme moderne et notre instinct de primate et si comme moi, vous avez envie de vous faire plaisir, je ne peux que vous recommandez ce blog que je lis très régulièrement.

mardi 21 mai 2013

7 ans

Ce soir, je vais fêter les 7 ans de ma fille.

Damned comme le temps passe vite ! Comme elle est si grande aujourd'hui et comment je suis si fier d'elle.

Tout ça me rappelle à quel point il m'est si important de profiter de chaque instant. Après tout, on en a tous qu'une vie, autant la sublimer !
D'ailleurs, souvent ma copine me dit à quel point je suis speed et qu'il faudrait que je sache me poser de temps en temps et elle a bien raison sur ce point (il faut bien l'avouer) mais j'ai encore du mal... ha ha ha.

Un jour, lorsque j'aurais 60 ans, je me poserai cette fameuse question : "ben jOe, qu'as-tu fait de ta vie au juste?" et là j'aurais juste trop de choses à dire !

Mon objectif ? Que ma fille soit aussi fière de moi que je le suis d'elle.

vendredi 19 avril 2013

L'esprit du clan 2013

10 ans que le clan existe ! C'est ça l'esprit du clan.
Le clan SK

- page 1 de 46